Le 24 mai dernier, une répugnante fusillade a été commise au Texas, USA, dans une école par un jeune homme de 18 ans nommé Salvador Ramos. Le bilan s’élève à bilan s’élève à 21 morts, essentiellement des enfants mais aussi deux adultes dont la grand-mère du tireur.
Le NY Post ne nous rapporte pas d’antécédent judiciaires mais un comportement autodestructeur suite à de l’harcèlement et des accusations homophobes. Des conflits avec d’autres élèves survinrent également.
Il aurait posté sur les réseaux sociaux son intention de réaliser une fusillade, pointant l’incompétence des agences de sécurité qui sont pourtant ubiquitaires sur internet.
Venons-en maintenant à la potentielle cause psychotonique de cet attentat : le programme MK Ultra Américain est connu pour avoir mis sur pied des terroristes par des moyens inhumains.
Ce procédé initialement réalisé au travers de l’utilisation forcée de drogues, de traumatismes et de violence a muté en un système de contrôle mental invisible que l’on nomme cybertorture depuis 2020.
Son principe est l’utilisation d’ondes et fréquences spéciales à l’aide des antennes relais et satellites. La technologie utilisée s’appelle monitoring neuronal à distance (en anglais RNM – Remote Neuronal Monitoring), son numéro de brevet est US3951134A. Il permet de capturer l’empreinte cérébrale sans électrode et de provoquer des stimuli en tout genre.
La seconde technologie est le V2K (Voice to skull) du numéro de brevet US4877027A permettent de faire entendre des voix à la victime, pouvant lui faisant croire que c’est sa propre voix et lui faire perdre la raison, simulant une schizophrénie.
Il est donc possible que cette technologie ait pu être utilisée pour cette horreur dans le but d’amener des lois restrictives sur le port d’arme.
Les plus naïfs demanderont pourquoi un gouvernement commettrait de telles atrocités sur sa population, la réponse la plus adaptée est qu’ils ne se doutent pas un instant de la déviance des pouvoirs en place.
Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste Indépendant
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