Theresay May à été reçu à la Maison Blanche vendredi 27 janvier 2017. Cet rencontre est la première du président Donald Trump après le passage du pouvoir officiel avec l’ex-président Barak Obama. L’or de la rencontre ils ont discutés du Brexit et la relation spéciale entre les deux pays.
Theresay May est allé voir Trump pour se rassurer après le Brexit. En effet depuis la sortie de l’UE de la Grande Bretagne les liens ,militaire, culturel, financier et politique ne sont plus les même avec la vieille Europe. D’ailleurs le président Etasunien qualifie le Brexit de « une chose merveilleuse ». Le candidat Trump avait déclaré le 3 avril 2016 « l’OTAN est obsolète » et « pourrait mener à la Troisième Guerre mondiale ». Heureusement, le 16 janvier 2017 il avait mis de l’eau dans son vin « l’OTAN est obsolète mais reste à mes yeux très importante ».
Donald Trump, à aussi changer son discourt sur la Russie ou il prônait pour « un renforcement de l’arsenal nucléaire des USA tant que le monde n’aura pas retrouvé la raison dans le domaine nucléaire ». Aujourd’hui il n’est plus dans la surenchère mais voir dans l’économie et l’apaisement en évoquant un éventuel accord sur la réduction des armements nucléaires avec la Russie en échange de la levée des sanctions imposées à Moscou après l’annexion de la Crimée, en mars 2014. Décision qui laisserai l’Europe dans un bourbier. De plus Donald Trump est pour une collaboration avec le président Vladimir Poutine pour apporter la paix en Syrie tout combattant Daesh.
Que va devenir l’OTAN si les USA agissent main dans la main avec la Russie alors que l’OTAN et la Russie ne soutiennent pas les même groupes militaires? C’est une fois de plus un embarrât pour les Européens. Dans ce jeu, c’est la Turquie qui en sort grande gagnante, car elle est dans l’OTAN tout en étant pro-Russe dans le conflit Syrien.
Justement, après sa rencontre avec D.Trump la première ministre Britanique c’est envoler vers Ankara où elle à rencontré les autorités Turcs. Elle à dit être « fière de s’être tenue au côté de la Turquie lors du putsch manqué et qu’il est important que la Turquie soutienne sa démocratie en maintenant l’État de droit et en respectant ses obligations internationales en matière de droits de l’homme ». Après ces deux phrases pour faire plaisir à l’UE, Theresay May à surtout parlé commerce avec un contrat aéronautique entre les deux pays de plus 125 milliards de dollars sur 20ans. Le président Recep Tayyip Erdogan à aussi déclaré avoir pour objectif de passer de 15,6 à 20 les échanges commerciaux.