Kamel Daoud, un « intellectuel » qui se croit digne des meilleurs prix littéraire et qui serait bien en peine de produire une dissertation digne de foi du défaut de protection de l’État français? Si elle ne lui était pas soufflée par une brigade de rédacteurs de la DGSE ? Un rôle qu’il peut jouer d’autant plus facilement que, à l’instar de, Mohamed Sifaoui, Boualem Sansal.. le terrain est balisé devant lui pour qu’il ait rarement à faire face à un contradicteur qui l’affronte sur le fond.
Un prétendu opposant qui a justement pour particularité d’être toujours en phase avec les projets des ennemis traditionnels de l’Algérie et qui colle parfaitement avec le discours officiel. Son rôle : sous-estimer ses concitoyens musulmans, ou nier les détails et les circonstances du crime de la colonisation aux termes du droit international ? Un agent parachuté derrière les lignes de ses frères concitoyens pour faire son œuvre de sabotage de la démocratie, en quelque sorte. Il est l’ennemi du peuple algérien, l’ennemi de la démocratie, l’allié du terrorisme international, l’allié des stratèges français de la tension.
L’attitude hostile de Kamel Daoud envers les musulmans
Kamel Daoud prend des mesures de plus en plus radicales contre ses concitoyens musulmans sous prétexte de faire respecter « la laïcité ».
Il n’y a pas un seul jour sans un débat ou une polémique au sujet du port du voile ou la pratique de l’Islam ne figure pas en bonnes partie dans ses écrits.
Ce n’est pas la première fois que l’Islam, son prophète et le Coran sont lourdement insultés par Kamel Daoud.
L’hostilité systématique à l’égard de l’islam est très anciennement ancrée dans la pensée de cet individu louche. D’essence ( Dönmeh ) juif faussement converti à l’islam, elle prend sa source dans l’esprit de la conversion du kabbaliste Sabbataï Tsevi, présenté comme son inspirateur, et que lui-même le considère ainsi .
N’est-il pas remarquable, par exemple, que ses critiques acerbes contre l’islam et le noble Coran soient intimement liées aux rôles des fils de Sion et leurs semblables ! Ils Sont des éléments constitutifs de la culture historique de Kamel Daoud ?!
Faut-il lui rappeler ici, que les algériens n’ont nullement besoin d’avocats. Dans leur grande majorité hostiles à la montée réelle de l’intégrisme, ils placent leur combat sur le terrain de la défense d’un islam vrai, moderne, tolérant, tout en restant fidèle à la source. Le jour où cette vérité que ne conteste que cet « agent d’influence » de la désinformation sera admise par les médias mensonges dans l’hexagone, Kamel Daoud apparaîtra sous son vrai visage :
Celui du complice de bien des crimes de masse, de bien des crimes contre l’humanité, et le receleur des spoliations qui en découlent. ) bref, tout ce qui constitue un bon agent de la DGSE, de la CIA ou du Mossad ?!
L’islamophobie de Kamel Daoud
En attendant, il est considéré comme l’écrivain et journaliste algérien d’expression française contemporain le plus talentueux du monde.
Et si ce « Mickey Mouse » a cette influence, c’est qu’il peut compter sur de solides soutiens dans les médias mensonges étrangers.
En effet, cet agent d’influence est toujours prêt à « éradiquer » un peuple si cela peut lui apporter une minute de « gloire » à la télévision. Il est une bénédiction pour ce milieu où il fallait un « bougnoule de service ». Il a un profil idéal pour professer la haine de ses concitoyens musulmans, qui, de son point de vue, sont indignes de la démocratie et ne sauraient rien en faire sinon élire des terroristes à leur tête ; la haine des révolutionnaires qui, prétend-il, n’auront de cesse que lorsqu’ils auront islamisé les nations arabes.
S’il se conduit de la sorte, ce n’est nullement par conviction, mais parce que c’est l’islamophobie qui paie en ce moment ; il professerait la même haine contre l’occident s’il était à Alger, la haine du Satan judéo-américain s’il était en Palestine, qu’il prend soin de déverser devant des Co-invités triés sur le volet et aussi acharnés que lui.
On connaît aussi son engagement en faveur de la politique israélienne et contre le peuple palestinien, son acharnement contre Erdoğan, les croyants et j’en passe. Il s’agit là du stade suprême de la complicité.
Tout le monde peut constater au quotidien au point que ça en devient caricatural que chaque fois que quelqu’un dans l’hexagone est disposé à dénigrer la religion des musulmans et à vanter les mérites de la civilisation occidentale, il est accueilli avec force compliments sur tous les plateaux de télévision française en particulier.
L’Algérie n’a pas besoin de lui
A contrario, quiconque prend la défense des musulmans croyants et critique le régime dictatorial et brutal comme celui d’Emmanuel Macron avec son peuple français en est aussitôt banni ! Au moment où la Cour constitutionnelle en Autriche a jugé que la loi sur l’interdiction du port du voile dans les écoles primaires, présentée par le gouvernement d’extrême droite de Sebastian Kurz en mai 2019, est contraire à la constitution.
Notre peuple algérien a toujours été musulman. Ce sera pareil ! Et c’est la raison du branle-bas de combat de nos aïeux.
L’Algérie a besoin aujourd’hui de ceux qui se sacrifient pour elle et qui élèvent l’intérêt suprême de la patrie au-dessus de toute considération, de ceux qui font preuve d’intégrité, de sagesse, de sérénité et de clairvoyance, ceux qui haussent le niveau du débat et s’élèvent au dessus des questions secondaires et s’écartent de la surenchère, car il s’agit de l’avenir du peuple et du destin de la nation. C’est le cas depuis des siècles. C’était le cas hier et c’est le cas aujourd’hui.
La raison est simple, il y a des tombes de martyrs et de cimetières aux quatre coins du pays. Dans une forêt, dans une steppe, à la lisière d’un village. Quel que soit l’endroit où vous creusiez, vous verriez les traces de ceux qui paient le prix à payer pour faire de l’Algérie une patrie-nation.
L’Algérie, une nation forte
Nous avions toujours été une nation de grandes revendications, d’idéaux et de grandes luttes. Ils ont essayé de nous détruire, pendant que nous nous efforcions de reconstruire l’histoire et de renforcer l’Algérie.
Nous avions toujours aimé et savions jouer un rôle de premier plan. Tout au long de son histoire, l’Algérie a aspiré à concilier les divergences et à apprendre à vivre avec les autres.
Voici une réponse qui devrait en clouer le bec à Kamel Daoud ? Certainement, la vérité est dangereuse pour ce bougnoule de service qui n’a pas la conscience tranquille. Mais est-ce aussi le cas en France ?
Tarek Benaldjia
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