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Franck COUSTET accuse Jean-Claude JUNCKER d’assassinat et de vol de 125 millions d’euros

Franck Coustet Juncker

Depuis 2009, un français dénommé Franck COUSTET, affirme se battre « de toutes ses forces contre les plus hautes autorités du Grand-Duché du Luxembourg pour que d’une part la vérité sur l’ assassinat d’un citoyen luxembourgeois et des tentatives d’assassinat sur plusieurs autres personnes soient élucidées mais également que l’on découvre les 125 Millions d ‘euros détournés par les notaires: Jacques Delvaux et Martine Weinandy pour la famille grand ducale, Jean-Claude JUNCKER, François BILTGEN( juge à la CURIA)  et le reste soit plus de 50 millions d’euros dont on ne sait rien ».

En effet, malgré plusieurs plaintes et une constitution en tant que partie civile, des notes d’informations envoyées aux médias français, rien ne bouge dans la justice aussi bien Française que Luxembourgeoise qui ne veulent entreprendre aucune enquête criminelle  et aucun média “mainstream”  ne veut médiatiser l’affaire. 

Pourtant, ces accusations sont non seulement graves mais aucun démenti de la part des intéressés n’a été formulé. 

Franck COUSTET a même déposé plusieurs plaintes sans que cela soit classé sans suite. Selon ces explications à MedyaTurk Info, « le procureur de Luxembourg, Jean Paul FRISING l’a empêché d’accéder à son dossier et l’affaire traîne ». 

« Jean Paul FRISING a depuis  Avril 2020 pris sa retraite mais ce n’est pas pour autant que le nouveau Procureur d’état a été plus conciliant », regrette encore COUSTET.

Plusieurs personnalités haut placées impliquées 

Plusieurs membres de la famille grand ducale, Monsieur Jean-Claude JUNCKER (Premier Ministre luxembourgeois à l’époque des faits) ainsi que Monsieur François BILTGEN (Ministre luxembourgeois de la justice à l’époque des faits) sont associés à cette affaire criminelle.

Pour Franck COUSTET, il y a eu non seulement  « mort d’homme, tentatives de meurtres, mais aussi détournements de l’actif important de cette même famille via l’intermédiaire de 2 notaires luxembourgeois successifs (Jacques DELVAUX, Martine WEINANDY) et  des transferts internationaux illégaux (blanchiment d’argent criminels) de fonds issus de fortunes volées appartenant à des luxembourgeois.»

D’après Franck COUSTET, ingénieur d’affaires spécialisé en fiscalité internationale qui s’est constitué partie civile au Luxembourg avec la recevabilité de sa plainte en Août 2014, le parquet Luxembourgeois ne veut toujours rien lui montrer à cette heure (Juin 2021).

Depuis 2016, il aurait tout tenté pour obtenir copie intégrale de son dossier, mais en guise de réponse « j’ai été emprisonné de plus de 40 jours en août 2016 pour des faits fabriqués suivis dès sa sortie d’intimidations, agressions et tentatives d’assassinat tant en Belgique qu’en France, mon pays n’a strictement rien fait pour enquêter et restituer l’argent aux héritiers français », affirme l’homme. 

En effet, Franck COUSTET avait également saisi le parquet de Thionville dès Mars 2014  (en Moselle) pour qu’ils puissent agir étant donné les liens qui existaient à l’époque (compétence Territoriale).

D’après Franck COUSTET « Madame la Juge Luxembourgeois en charge de ce dossier aurait les mains liées puisqu’elle a demandé les réquisitions en vue de l’interpellation de Monsieur JUNCKER Jean-Claude dès  Octobre 2015 mais le blocage se situe au niveau du Parquet Luxembourgeois ». 

Toujours selon COUSTET, le Procureur d’état Jean-Paul FRISING en charge du dossier à l’époque des faits n’est autre que le cousin de l’épouse (Christiane FRISING), alors qu’il devrait poursuivre l’ancien Président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker pour détournement et commanditaire  

70 millions d’euros disparus

Toujours selon les explications de Franck COUSTET, il s’agit au départ d’un héritage d’une riche famille luxembourgeoise au profit d’un français dont COUSTET est un ami proche et partie prenante. 

En Juin 2009, cette famille riche fait un testament dans lequel il y a une donation d’environ 3 millions d’euros à l’époque et ensuite une légation au décès du couple.

Cependant, le notaire de l’époque  « Jacques Delvaux n’ enregistrera jamais cette donation » et quelques jours plus tard, le légataire mourra. 

En effet, d’après les autorités et officiellement, l’homme se serait suicidé avec sa carabine. « Mais comment un homme peut se suicider alors qu’il demande de faire un café à son épouse juste avant » se demande Coustet. 

Ce qui consterne encore plus COUSTET, c’est que « le bureau et la moquette où l’incident a eu lieu revêtait les traces de l’impact et pourtant ils l’ont rapidement vendu quand j’ai menacé de saisir un juge d’instruction Français », explique l’ingénieur. 

« J’ai demandé à ce que l’on conserve la maison dans laquelle s’est passé le suicide mais le parquet n’a jamais voulu enquêter », précise encore COUSTET.

Même si le donateur décède, son épouse est encore en vie. De ce fait, l’héritier fait appel à Franck COUSTET pour refaire cette donation auprès de la veuve en Février 2011. 

La semaine  où l’héritier et Franck COUSTET avaient rencontré la veuve pour relancer la donation, cette dame fait un malaise le week-end et sera transportée à l’hôpital puis cachée dans une maison de retraite sans vouloir en informer l’héritier.

Le vol a eu lieu avant la donation

Suite à des investigations, COUSTET retrouve la dame pour finir la donation dans laquelle FRANCK COUSTET devait recevoir lui-même une donation augmentée au fur et à mesure que le temps passait et que les dommages collatéraux s’alourdissaient et par conséquent l’héritier voulait qu’il travaille également à recouvrer l’héritage.  

En Novembre 2011, « une nouvelle notaire (Martine WEINANDY) prend la suite pour réaliser la donation mais elle détournera à son tour 12 Millions et la donation sera récupérée par le Tribunal des tutelles » explique COUSTET.

Mais son ami et lui sont consternés puisqu’une fois de plus la donation est soit confisquée soit supprimée ou collectée par le ministère public (de Luxembourg) « qui ne souhaitait pas que cette donation se fasse ».

A la question de savoir pourquoi une telle attitude COUSTET répond qu’il a eu la réponse « beaucoup plus tard en 2013 suite à plusieurs plaintes ».  

Ainsi selon ses explications, il apprendra auprès de Robert BIEVER, procureur général de l’époque que « la donation de juillet 2012 annoncée à 23 millions ainsi que les 12 millions volés par le notaire n’est pas de 35 millions d’euros mais de 125 millions d’euros ». 

« Le vol a eu lieu bien avant car ils pensaient tous que les légataires n’auraient pas le temps de réaliser un testament avant qu’ils meurent, d’autant plus que le notaire était très critique sur le profil de l’héritier répétant sans cesse qu’il était Français et qu’il n’allait pas rester au Luxembourg », affirme encore COUSTET.

Accusation envers la famille Grand Ducale 

Alors, évidemment on est tenté de savoir qui sont ces personnes qui ont détournées cette somme astronomique?

 Le Procureur Général  fera signer très vite à l’héritier des documents pour réaliser une médiation pénale pour entériner l’affaire mais ne donnera aucun double à l’héritier :

« Et l’on apprendra par l’héritier que la famille Grand Ducale a volé plus de 32.5 millions d’euros ». 

Ensuite, COUSTET prétend que le Procureur Général aurait dit « Jean Claude Juncker a détourné 7 millions d’euros ainsi que François BILTGEN -ami du notaire Jacques Delvaux- a volé 5 millions d’euros ». « François BILTGEN était  surtout ministre de la justice à l’époque », insiste encore COUSTET. 

D’après ses affirmations, c’est parce qu’ils ne voulaient pas rendre l’argent volé dès 2004 -2005 « qu’ils auraient assassiné le principal légataire en Juillet 2009 quand ils ont réalisé l’acte testamentaire, et une tentative d’assassinats en Février 2011 quand la veuve veut relancer la donation et enfin en Mars 2013 quand l’héritier dira à Juncker qu’il veut porter plainte ».

« D’ailleurs le premier notaire (Jacques DELVAUX) dira en Août 2011 qu’il avait décidé de vendre son étude et qu’il ne ferait pas cette donation », affirme COUSTET. 

En 2014, en tant que mandataire et partie prenante, Franck COUSTET décide de saisir Michelle ERPELDING, juge d’instruction de Luxembourg qui lance une enquête criminelle « suite à des transmissions de pièces ».  

Toujours selon ses explications, le juge d’instruction aurait décidé en octobre 2015 de l’audition voir de l’interpellation de Jean Claude JUNCKER. Mais « le parquet résistera et n’ exécutera jamais cette décision » explique encore COUSTET. 

Pire encore, désormais le parquet bloque tout accès à ce dossier et place pendant plus de 40 jours en détention Franck COUSTET en août 2016. Il sera condamné à 800 euros d’amende et de 2 mois de sursis et 5 ans de probation. En premier instance pour terminer par 1000 euros et relaxé de tout le reste. 

L’héritier se suicide à son tour

Toujours selon les explications du Coustet, « l’héritier se suicide en s’immolant par le feu au mois d’Octobre 2015 au moment où comme par hasard le juge d’instruction avait décidé de renvoyer le dossier au parquet pour la demande d’audition de Juncker ».

Il affirme également que dans le même week-end, « il serait victime d’une tentative d’assassinat dans la piscine de Tournai en Belgique ».

Par ailleurs, il trouve scandaleux que cette affaire « ne suscite pas l’intérêt des médias notamment français alors même que la moindre accusation de viol à l’encontre de certaine personne fasse la une des journaux ».

Il souhaite aujourd’hui que la vérité éclate et que Jean-Claude Juncker se fasse condamner pour être l’un des commanditaires de « l’assassinat de François U.» .